Deuzaches, suite et fin.
Salutations,
Plus qu'une semaine avant le début de la campagne et derniers coups de pinceaux pour finir mon régiment de furieux du Ki'koup.
J'aurais préféré un socle plus travaillé, mais j 'ai bêtement oublié de sculpter les racines...
Bref , un peu pris par le temps aussi, je savais que je n'aurais pas le temps de peindre les milles points d'armée. Heureusement j'ai de quoi combler avec mon armée orque conventionnelle. Mais l'objectif d'une armée full sauvages reste d'actualité, et la campagne durant un an j'ai encore le temps de « commettre » deux ou trois régiments.
En terme de jeux, je ne suis moins confiant. J'avoue mettre installé dans le confort du jeu « Vermine » et là, la tactique n'est pas du tout la même. Mais bon qui vivra verra ...
Malgré leurs assauts répétés, les orcs ne pouvaient rivaliser avec la puissance de la bête. Toutes les ruses de Dargrab étaient rapidement défaites par la rage brute de l'immense orc. Après de nombreuses tentatives infructueuses pour contrôler le monstre , le prophète sonna la retraite. Pour ne pas perdre la face devant la tribut, Dargrab établit que la « bête » était l'incarnation de la fureur de Gork (ou bien Mork?), et en tant que tel elle ne pouvait être tuée ou dominée. Au contraire, elle indiquerais la voie aux Lune ki krame.
La « bête » ne paraissait connaître ni la peur , ni la fatigue. A défaut d''être un meneur, elle inspirerait la tribut par son carnage permanent. Nombre de tributs orcs et gobelines ayant eut le malheur de se trouver sur son chemin furent décimées, les survivants rejoignant la « Lune ki' krame » sans se faire prier.